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2020
La Fondation lance un cycle d'expositions des anciens résidents
Avec l'intention de continuer à soutenir ses anciens lauréats, la Fondation invite les anciens résidents à exposer dans l'un des ateliers réservé à cet effet. Après celle ayant présenté le collectif Muesli, les expositions reprendront au mois de septembre 2020 avec divers artistes invités, parmi lesquels Nicolas Gutiérrez Muñoz, Laurent Poisson, Nina Tomàs, Pierre Maurcot, Caroline Delaville, Anna Mermet, Kathleen Vossen et Arturo Sallustro. Cela sera l'occasion de suivre l'évolution de leur travail depuis leur passage à la Fondation, ou simplement de découvrir de nouveaux univers. N'hésitez pas à consulter régulièrement notre site internet et nos actualités sur les réseaux sociaux! Mais surtout, ne ratez pas l'exposition de fin de résidence 2020. Le vernissage est prévu le 3 juin, de 18 à 21h.
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Diego Wéry - mars 2020



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2020
Expositions anciens résidents

La Fondation invite ses anciens résidents à exposer et à côtoyer les ateliers des boursiers.Le Collectif MUESLI (João Freitas, Louis Darcel et Hannah De Corte) inaugure le cycle des expositions avec SHIFTERS, Commissariat LaSpore (http://laspore.org), du 11 au 25 janvier.Vernissage le 10 janvier de 18 à 21h.Heures d'ouvertures : les vendredis et samedis de 15 à 19h et sur rdv : muesli.collective@gmail.com "Des peintures indisciplinées, insoumises, telle une princesse capricieuse et sa robe couleur du temps. Elles sont dans un flottement entre le rose et le bleu, entre des sensations ; le chaud, le froid, le sec et l’humide. La surface vit, s’anime, elle n’est pas réduite à l’immobilité et réagit au souffle du temps.Elles prennent l’aspect de la roche granuleuse, le velouté d’une étoffe, la rugosité d’un mur, la profondeur d’une brume, le miroitement de l’eau, dans un va-et-vient incessant entre l’état solide et l’état liquide.Tels les nymphéas, elles respirent et vivent aux flux et reflux d’une sorte d’énergie vitale intrinsèque. Elles scintillent à certains endroits, à la manière de la calcite sur les parois des grottes, écorchées aussi par les mains qui la manipulent, les coups qu’elles prennent, comme autant de scarifications et de stigmates qui marquent à jamais leur peau. La main n’est plus celle d’une personne, les mains se soumettent. Les signes ésotériques nés de la valse de ces paumes dans un jeu expérimental d’écriture automatique s’apparentent à un cadavre exquis abstrait, à un rituel collectif chamanique pour communiquer avec l’insondable de la matière à travers le voile de la surface de la toile.Fusionnement de l’image et de la matière en devenir, insaisissable et fugace, la démarche pose la question substantielle du médium pictural et redouble le signifiant pour mettre en lumière l’autonomie des œuvres face à leurs créateurs et poser peut-être la question du maintenant et de l’infini."Maud Salembier, LaSpore


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2020
Clara Marciano

Le paysage est inondé. L'horizontalité écrasante de la scène tient lieu de remise à niveau. Un monde est immergé, un autre travaille sous la surface des eaux, attend son heure pour émerger.




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